Les Grands chênes ou la maison des perversions

Catégories : FANTASME Femmes fessées Enema Lavement / Médical
il y a 6 ans

Les Grands chênes ou la maison des perversions

Chapitre 1

J'étais une jeune fille et déjà très agréable à regarder, les cheveux châtains clairs, les yeux bleus avec de longs cils, un nez petit et légèrement retroussé. Une jupe plissée marquait ma taille fine et dévoilait de très jolies jambes jusqu'à mi cuisses. J'avais bien un petit ami mais nous n'allions guère au-delà de charmantes caresses accompagnées de profonds baisers dans lesquels nos langues se menaient un charmant combat qui pouvait durer des heures.

Mes parents, qui étaient en déplacement à l'étranger, pour les besoins de l'entreprise de mon père, m'avaient confié aux bons soins d'une grande amie de ma mère. Je pense que si elle avait connu la suite de cette histoire elle aurait choisi quelqu'un d'autre, mais j'y aurais perdu une expérience fort enrichissante. J'étais assez insouciante et pas spécialement ordonnée. Aussi Edith, l'amie de ma mère, finit par être de plus en plus courroucée à cause de mon comportement qui lui apportait de nombreux soucis et un surcroît de travail. Bien qu'elle m'eut déjà menacé d'un sévère châtiment je ne l'avais pas vraiment pris au sérieux.

Mais, un jour qu'elle arrivait de son travail plutôt énervée par sa journée, lorsqu'elle vit le désordre de ma chambre, elle se mit vraiment en colère. Elle me saisit par le poignet, s'assit sur mon lit et me coucha en travers de ses genoux. Je commençais à avoir vraiment peur en me retrouvant dans cette position vraiment très humiliante. Je sentis une boule se former instantanément au creux de mon ventre, mais je n'eus pas le temps de me poser beaucoup de questions.

D'une main, Edith remonta ma jupe sur mes reins, puis elle tira v i o l emment ma petite culotte vers le haut, la faisant pénétrer profondément entre mes fesses et dans ma tendre petite barquette. Ce faisant, ma tête se retrouva plus bas que mon postérieur et mes pieds touchants à peine le sol. - Alors tu as l'air maligne dans cette position, ton petit derrière ainsi exposé, tu es beaucoup mois fière. Te voilà parfaitement disposée pour recevoir la bonne fessée que je te promets depuis si longtemps. Et clac! clac! clac!

Une avalanche de claques commença à me chauffer les fesses. Je commençais à agiter les jambes dans tous les sens et mes chaussures heurtaient v i o l emment le plancher. Alors que je criais de plus en plus fort, Edith arrêta tout d'un coup de me fesser. J'avais les fesses en feu et je pensais que l'orage était terminé. Mais non, Edith me souleva les pieds l'un après l'autre pour ôter mes chaussures. Elle prit pour prétexte que j'abîmais son plancher. Après cela elle passa les doigts sous l'élastique de mon slip et le fit doucement glisser le long de mes cuisses.

Un petit coup sec libéra l'entre-jambes. Elle passa les genoux puis, soulevant les mollets vers le haut, elle me débarrassa complètement de ma petite culotte. Ma position devenait encore plus humiliante et je ressentis un grand trouble avec mon sexe à l'air libre, entièrement livré à la vue de ma tourmenteuse.

Edith était maintenant plus calme et caressait doucement mon petit cul, semblant prendre la dimension de celui-ci. Au fur et à mesures des passages de sa main sur mes fesses, elle les repoussait, soit vers la droite, soit vers la gauche, pour faire apparaître mon petit trou. La chaleur de mes fesses commençait à se communiquer à ma petite fente et je sentais de drôles de picotements dans celle-ci. - Ma petite Annie ton insouciance va t'amener encore bien des tourments et je crois que ton petit cul va en faire les frais.

Ce petit échauffement n'était que le prélude à la véritable fessée que ton gros joufflu va recevoir. Je serrais les jambes et mon cul palpitait de frousse mais, levant la jambe, elle le remonta encore un peu plus haut. Et paf! Une claque, puis une autre, la main s'y abattait maintenant régulièrement et mes jambes recommençaient à s'agiter dans tous les sens. Je dévoilais largement les secrets de ma petite fente qui s'ouvrait sporadiquement au rythme imposé par la main de ma fesseuse.

Peu poilue je devais offrir un fameux spectacle. Elle cessa enfin. Je cessai également de crier mais continuais à s a n g loter doucement, le ventre agité de convulsions, sur les genoux d'Edith. Elle me releva doucement et me demanda de me mettre à genoux devant elle.

  • Ma petite Annie j'ai décidé, puisque ton comportement m'y oblige, de te confier à un établissement spécialisé qui se chargera pendant quelque temps de ton éducation.

La discipline y est sévère et cela te fera le plus grand bien.

Elle se leva et sorti de ma chambre me laissant à genoux devant mon lit. Je profitais de son départ pour m'y allonger à plat ventre. Je me frottais les fesses pour essayer de calmer l'embrasement qui les dévorait mais, au bout de quelques minutes, je ressentis une certaine excitation. J'amenais alors doucement la main droite au niveau de mon jeune sexe. Je constatais une certaine humidité en approchant. Je passais doucement l' index dans ma fente. Ressentant une excitation croissante je frottais de plus en plus vite. Mon bouton était devenu tout dur et ma respiration devenait de plus en plus haletante. Je sentais mon pouls qui battait de plus en plus fort. Ma tête s'agitait dans tous les sens. Je poussais des petits gémissements de plaisirs. Quand, tout à coup, je sentis comme une énorme secousse qui me traversa depuis la pointe des pieds jusqu'au sommet du crâne. Un plaisir énorme m' envahie. Des gouttes sueur perlèrent sur mon front et je ressentis un v i o l ent tremblement dans tout le corps. Après cela je me sentis soudain très détendue, comme portée par un petit nuage. Je venais, sans le savoir encore, d'avoir mon premier orgasme.

Chapitre 2

Quelques jours plus tard, Edith m'annonça qu'elle m'emmenait à l'établissement d'éducation spécialisé "Les grands chênes". Elle m'expliqua que je serai là bas parfaitement mise en condition pour mieux répondre aux qualités que l'on pouvait demander à une jeune fille. Nous avons roulé jusqu'à environs cent cinquante kilomètres au sud de paris. Une très grande demeure bourgeoise se dressait au milieu d'une immense propriété, en pleine campagne, à des lieux de tout autre habitation. De grands murs clôturaient l'ensemble du domaine. Edith s'annonça à l' interphone et les grilles du grand portail s'ouvrirent.

Elles se refermèrent aussitôt après notre passage. Une charmante soubrette nous attendait en compagnie d'un majordome sur les marches du perron. -Madame Edwige vous attend dans son bureau, déclara le majordome, Mademoiselle Alice s'occupera de cette charmante jeune fille pendant que vous vous entretiendrez avec elle, poursuivit-il. Je suivis donc Mademoiselle Alice qui me fit entrer dans une petite pièce de forme étrange. Un mètre environ séparait deux cloisons formant une espèce de couloir de deux mètres de long. Il était fermé à chaque bout par une porte. Je m'assieds sur la chaise qui se trouvait au milieu. Je m' aperçu soudain qu'aucune des deux portes n'avait de poignée. Pendant ce temps Edith était avec Madame Edwige la directrice de cet établissement.

  • Vous avez carte blanche pour vous occupez de cet e n f a n t , dont j'ai actuellement la tutelle, et l'éduquer de la manière que vous jugerez la plus adaptée à son tempérament, dit Edith.

  • C' est entendu mais je vais vous demander de bien vouloir me signer cette décharge. Elle me donne l'entière responsabilité de corps et d'esprit de cette jeune personne durant son séjour ici, lui répondit Madame Edwige.

Edith s'empressa de signer les papiers que Madame Edwige lui tendit sans même prendre la peine de les lire. Elle prit rapidement congé apparemment pressée de profiter d'une plus grande liberté.

J'attendais depuis un bon moment quand, une voix sortant d'un haut parleur fixé au plafond, me fit sursauter.

  • Veuillez vous déshabiller entièrement pour passer les formalités médicales mademoiselle.

Un grand tiroir s'ouvrit dans le mur.

  • Déposez vos vêtements dans ce tiroir et surtout n'oubliez pas d'enlever slip et soutien-gorge.

Je me déshabillais entièrement et mettais tout mes vêtements dans le tiroir. Au bout de quelques minutes le tiroir se referma. J'attendais toute nue au milieu de cette minuscule pièce. Soudain la porte, opposée à celle d'où j'étais entrée, s'ouvrit.

  • Entrez, dit la voix dans le haut-parleur. Je pénétrais alors dans la pièce suivante. L'ambiance me fit frissonner, une jeune femme blonde en blouse blanche se tenait au milieu de la pièce.

Assez grande elle était dotée d'un drôle de mobilier dont je pressentais qu'il ne collait pas vraiment dans un cabinet médical. La jeune femme blonde surprit mon regard.

  • Je m'appelle Carole. Je vois que vous vous demandez à quel usage l'équipement de cette salle est destiné. Eh bien, je vais satisfaire tout de suite votre curiosité. Cette pièce outre sa fonction d'infirmerie, assez rare il est vrai, sert également de salle de pénitence. En effet dans cet établissement les pensionnaires sont soumises à la plus stricte discipline. Toutes celles qui se permettent des écarts au règlement de l'institution sont susceptibles de faire un séjour plus ou moins prolongé dans celle salle. Les possibilités de contrainte offertes par son équipement sont impressionnantes et toutes celles qui l'ont testé en garde un cuisant souvenir. Mais approchez-vous près de moi Annie.

Je m'approchais timidement les mains devant mon sexe. J'avais un trac terrible. Carole me prit les mains.

  • Allons montre moi ce joli corps avec tous ces trésors. Je vais t'examiner en profondeur, allonge toi sur cette table.

Je m'allongeais aussitôt sur la table. Elle était munie d'espèces de petites gouttières articulées de chaque cotés à la hauteur du bassin (comme sur une table de gynécologue) et de poignées à la tête.

  • Comme je tiens à t'examiner de façon très complète, et que je ne veux pas être gênée par tes éventuelles réactions, je vais t'immobiliser complètement.

Je commençais à avoir l'esprit complètement affolé, qu'allait elle me faire? Elle prit mon bras droit et attacha le poignet avec un bracelet fixé à l'une des poignées de la table au-dessus de ma tête. Elle fit la même chose avec mon bras gauche. Elle mit ensuite la cheville de ma jambe droite dans la gouttière fixée sur la table du même coté et l'immobilisa avec une s a n g le. La jambe gauche subit la même opération. Je me retrouvais alors dans une posture absolument obscène. Les cuisses écartées au maximum, le sexe grand ouvert, et dans l'incapacité totale de faire le moindre geste. Mon anus devait terriblement ressortir dans cette position. Je sentis des gouttes de sueur perler à mon front. J'étais complètement à la merci de cette femme qui semblait prendre un grand plaisir à me voir ainsi.

  • Nous allons pouvoir procéder à cet examen en toute tranquillité ma petite Annie. Voyons d'abord les seins.

Elle commença à me palper un sein par en dessous puis en remontant vers le mamelon. Presque aussitôt je sentis les bouts durcir. Une douce sensation de plaisir commençait à prendre naissance au creux de mon ventre. La caresse était si douce que je commençais à me détendre. Mes deux seins faisaient l'objet de la plus tendre attention. Je commençais à ressentir de petits picotements dans le bas ventre.

  • Excellente réaction au niveau des seins, voyons maintenant le reste.

Cette étrange toubib prit un gant d'examen et le lubrifia avec du gel. Elle pénétra doucement l'entrée ma petite moule et s'arrêta sur l'hymen. Elle eut un sourire étrange quand elle me dit:

  • Tu as encore ta bande de garantie, c'est parfait ma petite.

Sa main glissa ensuite sur le périnée et je sentis un doigt pointer sur l'anus. Bien lubrifié il pénétra instantanément, tourna un peu à l'intérieur et ressorti. Soudain j'entendis la porte s'ouvrir. Je me sentis complètement prise de panique.

  • Ah! Madame Edwige vous arrivez bien, je viens de commencer l'examen de la petite et il se trouve qu'elle encore toute neuve.

Dans la position ou je me trouvai la nouvelle venue ne pouvait voir que mon cul et ma chatte béante.

  • Très intéressant répondit Madame Edwige, mais continuez votre examen ma chère Carole, je suis curieuse de voir les réactions de cette petite.

Celle-ci ne se fit pas prier pour continuer. Elle enleva son gant et commença à me caresser les fesses. Mon petit trou palpitait de frousse.

  • Détend toi Annie. L'examen de ton rectum indique qu'il me faut t'administrer un petit lavement, tu as l'air très encombrée.

Dans ma tête les sensations les plus confuses se mélangeaient. Je sentis d'énormes bouffées de chaleur m'envahir les joues. Carole préparait le lavement dans un grand bocal muni d'un tuyau et d'une canule en plastique noir. Elle prenait tout son temps, et la prolongation de l'attente augmentait encore ma confusion. Madame Edwige s'approcha tout près de moi.

Elle posa doucement sa main sur mon bras et le caressa en passant doucement sur l'aisselle pour arriver sur le sein. La douceur du geste atténua un peu mon appréhension de ce que l'on allait me faire subir. C'est le moment que choisi Carole pour enfoncer la canule dans mon petit cul. Elle accrocha le bocal sur un support fixé à la table d'examen. La partie inférieure de la table bascula puis fut glissée sous la partie supérieure dégageant ainsi parfaitement l'accès à mon fondement. Je sentis rapidement le liquide du lavement me remplir, et j'étais dans l'incapacité totale de m'y soustraire. Je sentais mon ventre gonfler inexorablement sous la poussée du liquide qui m'envahissait. L'écoulement du liquide cessa enfin avec des bruits de bulles d'air dans le tuyau. Carole enleva le tuyau d'un seul coup et j'eus l'impression que mon cul était resté ouvert. Une bassine pris la place du bas de la table qui avait été escamotée tout à l'heure.

  • Ma petite Annie nous allons maintenant attendre que tu veuilles bien te vider, dit Carole.

Madame Edwige me caressait le ventre qui était maintenant bien rebondi. Les idées les plus confuses me traversait l'esprit. Outre la poussée que liquide exerçait sur mon anus, j'avais en plus maintenant une irrépressible envie de pisser. Je contractais au maximum mes deux sphincters pour essayer de retarder l'inévitable issue.

La main de Madame Edwige descendit doucement jusqu'à mon petit bouton. Elle se mit à le titiller avec tellement de savoir faire qu'elle eut vite raison de ma résistance. Soudain mes deux orifices s'ouvrirent simultanément et, l'action de la main de Madame Edwige aidant, je me sentis partir dans de v i o l entes convulsions de plaisir. Je tremblais partout tout en lançant de petits cris dans lesquels se mêlaient le plaisir et la honte. Je sentis mes deux orifices se relâcher en même temps. Les jets de liquide sortaient par saccades de mon petit trou agité de spasmes ininterrompus. Lorsque j'eus fini de me vider Carole me nettoya avec un coton imbibé d'eau de cologne. L'effet de l'alcool sur l'anus fut immédiat. Une v i o l ente chaleur envahit mon fondement augmentant encore plus mes sensations. Je haletais en poussant des gémissements de plus en plus fort. Et, lorsque le coton passa sur mon clitoris, je plongeais encore une fois dans un abîme de jouissance en poussant un grand cri finissant dans une sorte de s a n g lot.

Mon corps fut parcouru de frissons et agité de tremblements pendant plusieurs minutes. Carole et Madame Edwige me détachèrent enfin. Carole appuya sur un bouton et aussitôt Alice la jeune soubrette fit son entrée. - Alice, dit Madame Edwige, vous emmènerez Annie dans sa chambre, puis vous prendrez les mesures pour son trousseau. En attendant elle restera dans cette tenue qui lui va à ravir.

CHAPITRE 3

Alice me prit par la main pour m'emmener avec elle. Je me sentais encore plus nue, avec elle tout habillée, marchant dans un interminable corridor. Alice s'arrêta devant une des portes, l'ouvrit avec une petite clef et me fit entrer dans la pièce ou j'allais devoir passer les nuits de mon séjour ici. Un lit pour une personne était dans un angle du mur. Au bout de la chambre se trouvait une armoire à côté de la fenêtre. Alice ouvrit une porte en face du lit qui donnait sur une salle d'eau avec une douche, un bidet et des toilettes.

  • Va prendre une douche, je crois que tu en as besoin.

J'allais sous la douche et fis couler l'eau sur ma peau. Après l'épreuve que j'avais subie tout à l'heure cela me fis le plus grand bien. Lorsque j'eus fini de me doucher, Alice me sécha gentiment, avec beaucoup de douceur. Ensuite elle me poudra tout le corps avec de tendre mouvements très caressants, puis m'amena jusqu'à mon lit ou je m'étendis soudain très détendue.

  • Tu es vraiment très belle et j'ai grande envie de t'embrasser, tu veux bien murmura-t-elle en approchant doucement ses lèvres des miennes.

Sans attendre ma réponse elle posa ses lèvres entrouvertes. Aussitôt sa petite langue prit l'offensive en investissant ma bouche sans que je ne fis rien pour m'y opposer. C'était vraiment délicieux. Je n'aurais jamais cru que ce contact avec une autre femme fut si plaisant. Après cet interminable baiser elle se leva et parti pour me rapporter un plateau repas.

Lorsque j'eus fini elle prit mes mesures tout en frôlant les parties de mon corps les plus sensibles. Après cet exercice pendant lequel elle prit de nombreuses notes nous reprîmes une séance de baiser. Elle s'arrêta soudain et regardant l'heure. Elle me confia qu'elle devait partir de suite car elle avait prit un peu de retard dans son service. Le lendemain matin Alice me réveilla vers huit heures en m'apportant le petit déjeuner sur un plateau. Je finissais de déjeuner et Alice remplissait mon armoire de vêtements, que je ne connaissais pas, lorsque Madame Edwige fit son entrée dans la chambre.

  • Bonjour Annie, j'espère que tu as passé une bonne nuit. Mais, dites moi Alice, il me semble que vous avez passé plus de temps que prévue avec Mlle Annie hier soir, approchez vous je vous prie.

Je vis Alice rougir instantanément à ces mots. - Mais Madame Edwige...

  • Suffît, ici immédiatement.

Madame Edwige s'assied sur une chaise qui se trouvait devant mon lit.

  • Vous connaissez le tarif pour ce retard, une bonne fessée que vous allez recevoir immédiatement.

Elle lui prit les mains et l'attira vers elle la faisant basculer en travers de ces genoux. Elle souleva la jupe, la laissant retomber sur le dos, dévoilant le superbe postérieur d'Alice entièrement dépourvu du moindre sous vêtement. Madame Edwige prit la dimension du joufflu en y passant doucement sa main. Des petits grains de chair de poule apparurent aussitôt. Les muscles du fessier se détendaient progressivement sous la caresse. C'est le moment que choisi Madame Edwige pour envoyer une avalanche de claques sonores. C'était une vrai pétarade. Les jambes d'Alice se mirent à pédaler aussi vite que les claques tombaient sur son cul, dévoilants les trésors de son fendu complètement dénué de tout poil. La fente était ainsi parfaitement dévoilée et je la voyait s'entrouvrir au rythme des ruades dont le tempo était donné par l'infatigable main de Madame Edwige. Elle s'arrêta Lorsque les fesses d'Alice furent uniformément rouges.

Elle remit Alice debout et la pria d'aller continuer son travail ailleurs.

  • Ma chère Annie, après ce petit intermède qui aura contribué j'espère à vous donner le ton de cet établissement je vais vous en expliquer les règles. Pour cela levez-vous et venez vous mettre à genoux devant moi en écartant largement les cuisses l'une de l'autre puis mettez les mains derrière la tête.

Je me mis dans la position demandée, dévoilant les parties les plus secrètes de mon anatomie, et mettant mes petits seins en parfaite exposition.

  • Tout d'abord vous ne devez jamais, refusez d'exécuter un ordre quel qu'il soit, ensuite ne jamais contredire l'un de vos interlocuteurs, que ce soit un homme ou une femme, enfin respecter parfaitement votre emploi du temps. Aucun retard ne sera admis pour quelle que raison que ce soit. Tout manquement à ces règles entraînera automatiquement une sanction dont la plus légère est celle qu'Alice à subit tout à l'heure sous vos yeux. Les fautes les plus graves sont sanctionnées par des châtiments qui ont lieu d'ordinaire dans la salle qui a servit à vôtre examen médical hier. Cette salle est parfaitement équipée pour briser les natures les plus rebelles. Il ne tient qu'à vous d' assister en spectatrice plutôt qu'en actrice aux scènes qui peuvent s'y dérouler. Six autres jeunes filles de vôtre âge font également une cure du régime de cet établissement pour deux mois, c'est la durée minimale qui a été fixée à votre séjour ici.

Madame Edwige se leva pour aller jusqu'à l'armoire de lingerie. Elle l'ouvrit et en ramena quelques vêtements qu'elle posa sur le lit à côté de sa chaise. Elle me fit venir près d'elle debout entre ses jambes. Elle m'agrafa d'abord une jupe plissée rose puis me passa un chemisier blanc sans manche. Elle me mit enfin une petite culotte de coton blanche. Curieusement tous ces vêtements étaient munis de multiples boutons pression cachés par les plis des tissus.

  • Ceci est la tenue que tu devras porter durant la durée de ton séjour ici de huit heures à vingt et une heure. Le reste du temps tu seras dans une chemise de nuit qui se trouve dans cette armoire et rien d'autre. Maintenant le temps des présentations à tes compagnes de séjour ici est venu. Suis moi, nous allons maintenant à la salle d'éducation.

Chapitre 4

Je suivis Madame Edwige dans l'interminable couloir de cette maison. Nous avons pris l'escalier pour arriver à la salle d'éducation. Six tables faisaient face à un bureau juché sur une grande estrade. Cinq des tables étaient occupées par de charmantes jeunes filles, deux blondes, deux brunes et une rousse. Madame Edwige me pria de m'asseoir à la table restée libre. Le banc ou je m'assieds était solidaire de la table et munis d'un dossier en bois. Mesdemoiselles, je vous présente Annie. Annie voici Lucie, dit Madame Edwige en désignant la petite rousse. A côté et dans l'ordre, Judith, Cynthia, Véronique et Julie. Judith et Cynthia étaient les deux brunes et Véronique et Julie les blondes.

Outre moi-même vous serez également confié au soin de Mlle Claire d'estrade. Claire vous enseignera la biologie et l'anatomie quant à moi je vous enseignerais l'art d'être une parfaite femme d'intérieur et les civilités que cela comporte. Tout d'abord je vous informe que toutes vos erreurs ou manquements aux règles de bases de cet établissement donnera lieu à une sanction plus ou moins sévère selon le degré de gravité dont je serais le seul juge. Madame Edwige désigna un petit placard à côté du grand tableau noir. Il y a là dedans de jolis bracelets en cuir munis d'un anneau en acier.

Après deux fautes de votre part une paire de ces bracelets sera fixée à vos poignets. Si vous allez jusqu'à quatre, une autre ira à vos chevilles. Tout ceci afin que vous ayez, jusqu'au moment de votre châtiment, le sentiment d'asservissement donnés par ces bracelets qui devraient vous faire prendre conscience de la position délicate dans laquelle vous vous serez mise. Ces bracelets permettent une immobilisation totale et dans les positions les plus humiliantes pour vos petites personnes, mais aussi les plus délicates pour vos petites fesses mesdemoiselles.

Ce discours me plongea dans un abîme de réflexion. Quel était donc la vraie nature de cet établissement dont je pouvais devenir l'esclave à tout moment ? Madame Edwige nous demanda de prendre un cahier qui se trouvait sur la table et commença un exposé sur l'hygiène corporelle. Elle déclara qu'aucune partie du corps ne devait être oubliée et insista particulièrement sur les plus intimes.

  • A ce sujet je veillerai moi-même à vérifier ce point sur vos petites personnes.

Après cet exposé qui dura près d'une heure elle nous demanda de lui amener notre cahier afin de vérifier les notes que nous avions prises. Lucie fut la première à porter son cahier. Après examen du cahier Madame Edwige constata qu'il y avait cinq fautes. Elle se leva, alla jusqu'à l'armoire, et ramena deux paires de bracelets en cuir munis d'anneaux en acier. Elle s'assied puis fixa l'un après l'autre les deux premiers bracelets aux poignets de Lucie. Elle la fit ensuite monter sur une chaise puis sur son bureau pour lui fixer les deux autres aux chevilles. Elle ouvrit ensuite un tiroir ou elle prit quatre lacets.

Elle fit descendre Lucie du bureau et la ramena à sa table. Elle lui demanda de se mettre à genoux sur le banc et fixa les bracelets de chevilles à des anneaux fixés à chaque extrémité du banc. Lucie dut ensuite se mettre à plat ventre sur la table. Ses poignets furent attachés à deux autres anneaux fixés en haut des pieds de cette table. Madame Edwige ramena ensuite la jupette sur le dos de Lucie. Elle fit sauter les boutons pression de la petite culotte et tira dessus la faisant doucement glisser vers le bas puis la mis dans la poche de sa jupe. Lucie était maintenant dans une position vraiment très humiliante.

Ses fesses à l'air, les cuisses tenues bien écartées sur le banc, faisaient bien ressortir son anus ainsi que son petit abricot légèrement entrouvert. Madame Edwige repartie s'asseoir ensuite à son bureau.

  • Cette position mesdemoiselles va permettre à Lucie de réfléchir intensément sur les conséquences que peuvent avoir ses erreurs ici. Cela dit la leçon a aussi valeur d'exemple pour chacune d'entre vous. Continuons donc notre première leçon. J'espère que vous avez toutes profité de cet intermède pour relire vos notes car je continue. La suivante appelée à mon bureau avec son cahier est mademoiselle Julie. Cette jolie blonde avait deux magnifiques nattes et de charmantes petites fossettes aux joues lorsqu'elle souriait.

A suivre ICI

Lire la suite : Les Grands chênes ou la maison des perversions 2
Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement